EDITO de JUILLET

Le 27 Avril dernier, nous avons participé à une journée IPCS, (Information Préventive aux Comportements qui sauvent) organisée par la Mairie et les Sapeurs-Pompiers, Daniel CANDELA pour la Turbie et Fernand MASSA du CIS de Menton. Après une matinée purement théorique, ils nous ont soumis aux comportements à observer en cas d’urgence. Accidents, incendies, malaise sur la voie publique, etc. Cette formation, qu’il ne faut pas confondre avec le secourisme, nous a paru d’un intérêt certain pour la population turbiasque et nous avons décidé de la faire partager au plus grand nombre en consacrant, chaque mois, une fiche technique à ces « gestes qui sauvent ». Mois après mois, nous vous indiquerons les gestes, les comportements, qui peuvent sauver des vies, à l’aide de fiches-conseils qui seront toutes validées par les Sapeurs-Pompiers de Menton, avant d’être publiées, car, s’agissant de santé et de sécurité publiques, il convient d’être extrêmement rigoureux. Notre première fiche mensuelle, validée par CIS de Menton, est consacrée à l’utilisation du défibrillateur.

Nous remercions le Commandant ALLAVENA et l’ Adjudant MASSA, du CIS de Menton, pour l’accueil qu’ils ont réservé à notre initiative et pour la mise à disposition des hommes et du matériel qui ont permis la réalisation d’un reportage photographique de plus de deux cents clichés et la rédaction de ces fiches.

Une réflexion sur « EDITO de JUILLET »

  1. Concernant les travaux, j’aurais une remarque de bon sens à suggérer, notamment pour ceux qui concernent l’élargissement actuel des passages piétonniers. Ce chantier est bien entendu protégé par un feu qui assure la circulation alternée. La programmation de ces feux me laisse toujours pantois, et dans le cas qui nous concerne, je crois qu’il serait possible d’améliorer à peu de frais leur fonctionnement. En effet, ils sont actuellement réglés de telle sorte que le temps de passage des véhicules dans chaque sens est d’environ 8 à 10 secondes seulement. Entre les passages, il y a obligatoirement un temps de latence qui permet au trafic de s’évacuer avant d’ouvrir le trafic inverse. Ce temps de latence est fixe puisque directement lié à la longueur du chantier. Donc, plus le temps de passage (actuellement 8 à 10 seconde) est court, plus le temps de latence pèse dans la formation de bouchons en amont et en aval ; il suffirait donc de tout simplement augmenter sensiblement le temps de passage pour améliorer à peu de frais le trafic. Qui plus est, avec les moyens techniques actuels, il devrait être possible de programmer des feux de régulation plus « intelligents » qui alloueraient un temps de passage plus important au sens de circulation le plus dense selon les heures de la journée ! Par exemple, il devrait être possible, le matin aux heures de bureau, de doubler le temps de passage des véhicules qui se dirigent vers Monaco.
    Mais tout ceci est un rêve..
    D.R. La Turbie

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