Edito de Mai

Chers amis,

Merci à ceux d’entre vous qui nous ont transmis des messages d’encouragement. Vous avez été nombreux à lire le premier numéro de notre magazine numérique mensuel « La Turbie, mon village ». Vos suggestions comme vos critiques nous sont précieuses et nos colonnes sont ouvertes à tous, sans exclusive, sans esprit de polémique.

Notre seul objectif est de vous informer, de vous distraire, de vous rendre service

les trois commandements d’un journal de proximité !

 

Au sommaire de ce deuxième numéro:

Le portrait d’un médecin urgentiste et romancier, Marc MAGRO, dont les parents tenaient le magasin de chaussures « Au pied d’Auguste » dans le village. Rencontre particulièrement riche et émouvante. (afp)

Un droit de réponse qui nous a été transmis par le C.I.S. de La Turbie à la suite de l’article: « Ils ont eu chaud » (A/C Daniel CANDELA)

Marijo NARDINI, une ancienne « instit » de notre école…

Rendons à César (afp)

Un peu d’histoire locale avec le Club bouliste du village (Jean-Claude BARRAL)

Nous étions tous kényans (Séverine FAYE)

Une journée de formation avec le C.I.S. de La Turbie, (Séverine FAYE)

CCAS: « Circulez… il n’y a rien à voir ! (afp)

Humour british (GDLM : un lecteur de Miami !!)

Une recette de cuisine: l’aïoli façon Bruno CIRINO

Les trucs et astuces de Cathy (Cathy BARRAL)

Merveilleuse Juliette (afp)

La photo-mystère

Bonne lecture et n’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires, critiques et suggestions !

afp

Et si vous souhaitez soutenir notre action, adhérez à notre Association « La Turbie, mon village » quel que soit votre lieu de résidence, en remplissant le bulletin téléchargeable ici

http://www.laturbiemonvillage.fr/wp-content/uploads/2015/04/adhesion-LTMV.pdf .

 

2 réflexions sur « Edito de Mai »

  1. Même s’il est très difficile de faire bouger les gens, le simple fait d’exister est déjà en soit la marque de la nécessité de porter un autre regard sur l’actualité et la vie de notre village.
    Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume d’Orange).
    Bravo et merci

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